Ce que je retiens de tout cela, c’est l’inanité de ce type de catégorisation. Qui ne fait que renforcer la méfiance que j’ai toujours éprouvée vis à vis des psy, qu’il soient cologues ou analystes ....Entre l’époque où j’étais je ne sais trop quoi, perverse, déviante, déséquilibrée ou hystérique, je n’ai pas changé pour moi. Je suis semblable à celle que j’étais, avec mes désirs, mes perversions, le plaisir que je ressens à être dominée, humiliée, battue par celui auquel j’ai choisi de me donner. La seule chose qui compte en définitive, c’est ce que nous sommes, pas les cases où les bien pensants politiquement corrects décident de nous ranger.
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